Alors que durant l’ère préhistorique, l’accroissement de sang dans notre cœur et nos muscles nous aidait à échapper aux prédateurs ou à nous sortir de dangereuses situations, nous ne sommes plus du tout dans le même type de situations aujourd’hui.
Notre corps ne peut pas faire la différence entre un grizzli en train d’approcher, un(e) conjoint(e) énervé(e) ou un embouteillage particulièrement épique, et il déclenche une réaction de stress même quand il n’y a pas de danger immédiat. Au lieu de nous aider à nous échapper, cette réaction peut alors contribuer à des problèmes de santé chroniques comme l’hypertension, des maux de tête, mais aussi un état dépressif et des troubles d’anxiété. Plus encore, le stress peut empirer d’autres soucis de santé, comme l’asthme, le syndrome du côlon irritable ou l’insomnie.
La bonne nouvelle ? Selon le National Center for Complementary and Alternative Medicine des Instituts américains de la santé, de la même manière que nous possédons une « réaction de stress », nous avons une « réaction de relaxation », durant laquelle notre respiration ralentit, diminuant la tension artérielle, et réduisant le besoin d’oxygène.
Comme nous ne pouvons pas vraiment empêcher le stress de nous gagner, autant travailler à en supprimer les effets.
Parmi les 20 manières différentes pour contrôler votre stress, fondées sur des preuves scientifiques (Source Hufington Post) les 3 premières sont des activités d’attention respiratoires et corporelles.